Lorsque
nous sommes arrivés à l’appart’, Pamela était déjà à quatre pattes sur le
lit... Maîtresse Léa m’ordonna de la rejoindre et rapidement je me retrouvais à
ses côtés, le cul à l’air et une queue dans la bouche. 2 mecs pour 2 trav’...
la soirée s’annonçait bien ! « Regarde-moi ces deux salopes » furent
les derniers mots que Maîtresse prononça avant de s’installer dans la pièce
voisine pour papoter avec Maîtresse Cassandre.
La
caméra et l’ordinateur présents dans la chambre ne laissait guère de doute. La
séance serait filmée en « live » et diffusée sur le net et c’est
ainsi que ma Maîtresse allait mater sa lope de mari faire devenir une vraie
femelle.
J’étais
décidé à ne pas décevoir Milady. Maîtresse me faisait un immense cadeau en
m’offrant cette soirée. Dévirilisé, féminisé, ma nouille de sous-mâle encagée
et inutile, je me devais de montrer à Maîtresse Léa ma gratitude pour
l’éducation de lope à laquelle elle me destine irréversiblement.
Très
rapidement je me mis dans l’ambiance. Je me sentais très salope et la
température monta encore un peu quand S... me cambra au maximum pour astiquer
mon petit trou de femelle avec sa langue. Il aimait baiser les trav’
visiblement et je m’abandonnais aux doux plaisir qu’il me procurait. La suite
fut délicieusement classique : longue et profonde fellation avant prise à 2,
une bite dans le cul, une autre dans la bouche. Il y avait longtemps que cela
ne m’était pas arrivé et je sus, une nouvelle fois, que j’étais, grâce à
Maîtresse Léa sur le bon chemin, celui qui transforme définitivement les maris
en sous-mâles, les sous-mâles en lopes, les lopes en femelles, les femelles en
mari cocu, le mari cocu en esclave sexuel...
Pendant
ce temps, S... continuait de m’enculer avec vigueur. Il était endurant le
bougre et ma chatte anale semblait lui convenir. Il m’agrippait par les épaules
et je comprenais vite qu’il ne me lâcherait pas avant de s’être vidé les
couilles dans mon cul. Il me maintenait la tête sur la bite de son pote et je
passe ainsi un long moment totalement embroché par 2 queues qui me
remplissaient avec gourmandise. Je sentis le moment où les va-et-viens
devinrent plus saccadés, et annonciateurs d’une libération prochaine. Dans un ultime et puissant coup de rein, je
le sentis se vider dans la capote et il se retira en me prévenant qu’il n’en
avait pas fini avec moi et qu’il souhaitait joué une deuxième partie dans mon
cul.
En me
relevant, je croisais mon visage dans le grand miroir qui faisait face au lit.
J’étais décoiffée mais profondément femelle sauvage, prête à tout pour avoir
encore de la bite dans sa chatte et montrer à ma Maîtresse les bienfaits de son
dressage.
Après la
pause pizza... je me retrouvais à nouveau la tête en bas, le cul en l’air avec
la langue de S... qui me fourrait l’anus. J’entendis une première fois ma
Maîtresse m’appelé pour me signifier qu’il était l’heure de partir mais je ne
bougeais pas espérant sa clémence. Elle entra dans la chambre et quand elle me
vit ainsi désobéissante, elle m’agrippa pleine de colère, par un téton et une
aisselle, et m’arracha un cri de douleur en me pinçant de toutes ses forces.
S... comprit qu’il devait lâcher mon cul de chienne en chaleur qui s’offrait à
lui. J’étais très fier de l’intervention de ma Maîtresse qui marquait
publiquement son emprise sur sa lope mâle. Je la recevais comme une humiliation
nécessaire pour rappeler mon appartenance à Maîtresse....