jeudi 6 septembre 2018

Maîtresse offre le cul de sa lope à la Fistiniere

L'année 2018 restera marquée par une expérience à nulle autre pareille. La découverte, avec Lady Léa, de la Maison d'hôte La Fistinière, qui comme son nom l'indique est dédiée à la pratique du fist.
Si Maîtresse me fiste allègrement depuis longtemps maintenant, je sais qu'il me reste du travail (et de la patience) pour atteindre une dilatation anale plus importante qui lui permettrait, par exemple, de me faire un fist à 2 mains. Ma petite chatte anale, bien que desserrée par Maîtresse, était toujours restée impénétrable aux mains de garçons...  ce à quoi Maîtresse, visiblement, avait bien l'intention de remédier.
Après avoir établi le contact l'an dernier pour s'assurer que cet établissement plutôt orienté gay, était également hétéro friendly, nous avons découvert la Fistinière au printemps dernier. Ce fut un tel enchantement que Maîtresse m'y a reconduit la semaine dernière pour terminer les vacances par un déluge de luxure anale afin d'élargir mon trou de lope.
Je pense que les mots ne parviendront jamais à décrire la force des sensations qui m'ont envahies quand le poing de François puis celui de Juan ont fait sauté le verrou. Avec un doigté doux et ferme à la fois, ils ont rapidement, et sans guère de difficultés finalement, pris possession de mon cul, sous les yeux de ma Maîtresse que je ne voulais évidement pas décevoir. Alors certes la première fois, je crois avoir crier comme un cochon qu'on égorge tellement la sensation de remplissage était puissante, inattendue et jouissive.
Le spectacle, autour de moi, d'autres mâles habitués des lieux et hyper dilatés, qui encaissaient des va-et-vient puissants était stimulant et un peu irréel pour le novice que j'étais. Je découvrais grâce à Maîtresse, un univers qui j'en suis sûr, va nous devenir familier et surtout qui va permettre à Maîtresse de repousser les limites de sa lope.
Dans la Chapelle Fistine, je passais du sling à la table balançoire puis au banc à fister avant de revenir offrir encore mon cul au sling. Par devant, par derrière, par Maîtresse, ses poings, son gode extrême, ou par les poings des garçons, la soirée ou plutôt la nuit avançait et je n'étais plus qu'un trou, souple et avide de nouvelles insertions toujours plus grosses...
Maîtresse avait découvert un lieu de rêve pour une salope de mon espèce. Je pouvais y être exhiber sans réserve dans ma conditions de mâle soumis à ma délicieuse Maîtresse, qui par ailleurs ne laissait pas indifférent les mâles présents qui la sollicitait pour se faire, à leur tour, fister par ses délicieuses petites mains... 
Bref notre deuxième visite à la Fistinière a totalement confirmé l'impression de bien-être absolu qui flotte dans ce lieu hors du temps. Pendant 2 jours je me suis senti une vraie fiotte sans couille, totalement concentrée sur le plaisir que je peux donner et recevoir avec mon cul. J'ai une idée fixe, y retourner et y retourner encore pour progresser dans tous les domaines sous les ordres de Maitresse.

lundi 12 février 2018

Soirée Trav'



Lorsque nous sommes arrivés à l’appart’, Pamela était déjà à quatre pattes sur le lit... Maîtresse Léa m’ordonna de la rejoindre et rapidement je me retrouvais à ses côtés, le cul à l’air et une queue dans la bouche. 2 mecs pour 2 trav’... la soirée s’annonçait bien ! « Regarde-moi ces deux salopes » furent les derniers mots que Maîtresse prononça avant de s’installer dans la pièce voisine pour papoter avec Maîtresse Cassandre.
La caméra et l’ordinateur présents dans la chambre ne laissait guère de doute. La séance serait filmée en « live » et diffusée sur le net et c’est ainsi que ma Maîtresse allait mater sa lope de mari faire devenir une vraie femelle.

J’étais décidé à ne pas décevoir Milady. Maîtresse me faisait un immense cadeau en m’offrant cette soirée. Dévirilisé, féminisé, ma nouille de sous-mâle encagée et inutile, je me devais de montrer à Maîtresse Léa ma gratitude pour l’éducation de lope à laquelle elle me destine irréversiblement.

Très rapidement je me mis dans l’ambiance. Je me sentais très salope et la température monta encore un peu quand S... me cambra au maximum pour astiquer mon petit trou de femelle avec sa langue. Il aimait baiser les trav’ visiblement et je m’abandonnais aux doux plaisir qu’il me procurait. La suite fut délicieusement classique : longue et profonde fellation avant prise à 2, une bite dans le cul, une autre dans la bouche. Il y avait longtemps que cela ne m’était pas arrivé et je sus, une nouvelle fois, que j’étais, grâce à Maîtresse Léa sur le bon chemin, celui qui transforme définitivement les maris en sous-mâles, les sous-mâles en lopes, les lopes en femelles, les femelles en mari cocu, le mari cocu en esclave sexuel...

Pendant ce temps, S... continuait de m’enculer avec vigueur. Il était endurant le bougre et ma chatte anale semblait lui convenir. Il m’agrippait par les épaules et je comprenais vite qu’il ne me lâcherait pas avant de s’être vidé les couilles dans mon cul. Il me maintenait la tête sur la bite de son pote et je passe ainsi un long moment totalement embroché par 2 queues qui me remplissaient avec gourmandise. Je sentis le moment où les va-et-viens devinrent plus saccadés, et annonciateurs d’une libération prochaine.  Dans un ultime et puissant coup de rein, je le sentis se vider dans la capote et il se retira en me prévenant qu’il n’en avait pas fini avec moi et qu’il souhaitait joué une deuxième partie dans mon cul.
En me relevant, je croisais mon visage dans le grand miroir qui faisait face au lit. J’étais décoiffée mais profondément femelle sauvage, prête à tout pour avoir encore de la bite dans sa chatte et montrer à ma Maîtresse les bienfaits de son dressage.

Après la pause pizza... je me retrouvais à nouveau la tête en bas, le cul en l’air avec la langue de S... qui me fourrait l’anus. J’entendis une première fois ma Maîtresse m’appelé pour me signifier qu’il était l’heure de partir mais je ne bougeais pas espérant sa clémence. Elle entra dans la chambre et quand elle me vit ainsi désobéissante, elle m’agrippa pleine de colère, par un téton et une aisselle, et m’arracha un cri de douleur en me pinçant de toutes ses forces. S... comprit qu’il devait lâcher mon cul de chienne en chaleur qui s’offrait à lui. J’étais très fier de l’intervention de ma Maîtresse qui marquait publiquement son emprise sur sa lope mâle. Je la recevais comme une humiliation nécessaire pour rappeler mon appartenance à Maîtresse....


2018 : les nouvelles règles de kali, la lopette castrée