levrette avant cuckolding |
De retour à la maison, je compris
vite que la soirée n’allait pas en rester là. Lady Léa m’informa que nous
allions passer la nuit dans la demeure de son amant. Et je compris ce qui
m’attendait en découvrant la chambre à coucher. Un tapis pour chien était
disposé au pied du lit… Maîtresse l’ordonna préalablement de m’installer sur le
lit à 4 pattes. Elle se para de son gode-ceinture et me pénétra sans ménagement
comme une petite pute qui venait de se faire empaler dans les bois. Elle me
donna 9 orgasmes successifs et je ne pouvais m’empêcher de gémir devant ce
mélange de plaisir et de douleur. Pour me faire taire son amant se positionna
devant moi de manière à ce que je n’ai pas d’autre choix de prendre à une
nouvelle fois sa queue épaisse dans ma bouche. C’est terriblement efficace pour
me faire taire ! et j’ondulais ainsi entre les deux sexes qui me
remplissaient mes orifices de femelle… Puis comme je l’imaginais, Milady
m’invita à rejoindre ma couche de chienne au pied de son lit. Je ne pouvais
donc plus voir mais seulement entendre ma Maitresse et son amant… les premiers
craquements de literie ne se firent pas attendre. D’abord lents, puis
progressivement plus rapides, puis beaucoup plus rapides… je n’osais relever la
tête pour observer la scène de peur de déplaire à Milady. J’en mourais d’envie
cependant, frustré de ne pas avoir le son Et l’image… Au rythme soutenu des
grincements de la literie, je présumais que Milady était en train de chevaucher
son amant, dans un mouvement de bassin parfaitement maitrisé pour conduire son
partenaire à l’extase… puis renversement de situation, je sentis la scène
basculer dans la position du missionnaire… J’osais relever les yeux et j’eus la
confirmation de mon intuition…Seul sur ma paillasse de petite chienne,
j’attendis patiemment que leurs ébats finissent, ayant beaucoup de mal à
contrôler simultanément ma frustration intense et mon désir d’humiliation…
Milady m’interpella sèchement et me sortit de mes rêveries. A son ordre que
j’attendais inéluctablement, je m’exécutais en allant lécher et nettoyer le
sperme de son amant qui avait éjaculé sur son ventre… Je la remerciais
vivement, regrettant déjà que mon humiliation s’achève déjà…
Un peu plus tard dans la soirée,
alors que le sommeil ne me gagnait toujours pas, j’entendis ma Maitresse et son
amant quitter la chambre que nous occupions tous les 3 pour s’installer dans la
chambre voisine. J’avoue avoir espérer qu’ils avaient envie de m’humilier à
nouveau, cette fois-ci à distance. Une irrépressible envie de masturbation me
traversa. Cette soirée m’avait transporté dans un état d’excitation quasiment
inconnu et je sus immédiatement que cette envie ne disparaîtrai pas tant que je
n’aurais pas assouvi les bas instincts de la chienne en chaleur que j’étais
visiblement revenu grâce au traitement attentif de ma délicieuse Maitresse. Ma
queue gonflée mais néanmoins encagée ne m’était d’aucun secours. Ce constat
cruel, mais aussi évident que définitif, m’ouvrit pour la première fois les
yeux sur la vraie nature de ma frustration. Et le seul véritable moyen d’y
remédier… Je commençais par contracter mes sphincters autour de la boule anale
qui me remplissait la chatte, puis je les relâchais… et puis je recommençais…
Je fus surpris de constater à quel point cette petite gymnastique musculaire me
soulageait. Insatiable je voulus alors atteindre le pic orgasmique que ma
chatte me réclamait. J’empoignais ma précieuse boule anale et commença alors à
intensifier les va-et-vient jusqu’à atteindre un rythme frénétique. C’était la
première fois que j’avais l’impression concrète de me donner autant de plaisir
en assumant ce que j’étais devenu, la femelle soumise de Milady.
C’est Milady d’ailleurs qui me
ramena brutalement à mon statut en déboulant dans ma chambre, visiblement
alertée par les gémissements que je n’avais pu contenir durant mon exercice
solitaire. Elle était furieuse et me réprima d’un ton sec. ‘’Qu’est-ce que tu
fabriques, me lança-t-elle. Je me masturbe, répondis-je honteusement. Qui t’a
donné l’autorisation, gronda t’elle en soulevant le drap qui me recouvrait,
comme si elle voulait me prendre en défaut de me branler la nouille.
Lorsqu’elle réalisa que je me masturbais comme une femelle, elle me mit en
demeure de stopper immédiatement et de dormir, mais je crus discerner à un
imperceptible radoucissement du ton de sa voix comme si ce flagrant
délit d’onanisme était finalement une nouvelle étape qui scellait davantage
encore l’avancée et l’irréversibilité de ma soumission et de ma féminisation.
Il était près de 3 heures du
matin. Dans ma tête, l’excitation avait laissé la place à un tumulte enfin
apaisé. Je n’avais encore jamais ressenti avec autant d’acuité combien Milady
avait réussi à me conduire méthodiquement à la lisière de cet univers qui
m’aspire chaque jour davantage. C’est sur ces pensées totalement subversives
que je parvenais à trouver le sommeil. N’était-il pas temps
d’envisager un sevrage plus drastique encore de l’ex–mâle pour tendre vers une
véritable castration psychologique. Enchainer les semaines, puis les mois, sans
masturbation, sans éjaculation, sans rapport conventionnel, en abandonnant
totalement tout repère sexuel masculin… La lope que je suis devenue, dans l’amour
de Milady, est infiniment reconnaissante du chemin que sa maitresse lui a
permis de parcourir. Résolue aussi à progresser toujours davantage pour voir
rayonner chaque jour sur la visage de sa bien-aimée le sourire éclatant d’une
femme et d’une Maitresse épanouie.
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