samedi 6 août 2016

S05E04 soumission, féminisation, humiliation et cuckolding : la nouvelle vie de kali



levrette avant cuckolding

De retour à la maison, je compris vite que la soirée n’allait pas en rester là. Lady Léa m’informa que nous allions passer la nuit dans la demeure de son amant. Et je compris ce qui m’attendait en découvrant la chambre à coucher. Un tapis pour chien était disposé au pied du lit… Maîtresse l’ordonna préalablement de m’installer sur le lit à 4 pattes. Elle se para de son gode-ceinture et me pénétra sans ménagement comme une petite pute qui venait de se faire empaler dans les bois. Elle me donna 9 orgasmes successifs et je ne pouvais m’empêcher de gémir devant ce mélange de plaisir et de douleur. Pour me faire taire son amant se positionna devant moi de manière à ce que je n’ai pas d’autre choix de prendre à une nouvelle fois sa queue épaisse dans ma bouche. C’est terriblement efficace pour me faire taire ! et j’ondulais ainsi entre les deux sexes qui me remplissaient mes orifices de femelle… Puis comme je l’imaginais, Milady m’invita à rejoindre ma couche de chienne au pied de son lit. Je ne pouvais donc plus voir mais seulement entendre ma Maitresse et son amant… les premiers craquements de literie ne se firent pas attendre. D’abord lents, puis progressivement plus rapides, puis beaucoup plus rapides… je n’osais relever la tête pour observer la scène de peur de déplaire à Milady. J’en mourais d’envie cependant, frustré de ne pas avoir le son Et l’image… Au rythme soutenu des grincements de la literie, je présumais que Milady était en train de chevaucher son amant, dans un mouvement de bassin parfaitement maitrisé pour conduire son partenaire à l’extase… puis renversement de situation, je sentis la scène basculer dans la position du missionnaire… J’osais relever les yeux et j’eus la confirmation de mon intuition…Seul sur ma paillasse de petite chienne, j’attendis patiemment que leurs ébats finissent, ayant beaucoup de mal à contrôler simultanément ma frustration intense et mon désir d’humiliation… Milady m’interpella sèchement et me sortit de mes rêveries. A son ordre que j’attendais inéluctablement, je m’exécutais en allant lécher et nettoyer le sperme de son amant qui avait éjaculé sur son ventre… Je la remerciais vivement, regrettant déjà que mon humiliation s’achève déjà…  

Un peu plus tard dans la soirée, alors que le sommeil ne me gagnait toujours pas, j’entendis ma Maitresse et son amant quitter la chambre que nous occupions tous les 3 pour s’installer dans la chambre voisine. J’avoue avoir espérer qu’ils avaient envie de m’humilier à nouveau, cette fois-ci à distance. Une irrépressible envie de masturbation me traversa. Cette soirée m’avait transporté dans un état d’excitation quasiment inconnu et je sus immédiatement que cette envie ne disparaîtrai pas tant que je n’aurais pas assouvi les bas instincts de la chienne en chaleur que j’étais visiblement revenu grâce au traitement attentif de ma délicieuse Maitresse. Ma queue gonflée mais néanmoins encagée ne m’était d’aucun secours. Ce constat cruel, mais aussi évident que définitif, m’ouvrit pour la première fois les yeux sur la vraie nature de ma frustration. Et le seul véritable moyen d’y remédier… Je commençais par contracter mes sphincters autour de la boule anale qui me remplissait la chatte, puis je les relâchais… et puis je recommençais… Je fus surpris de constater à quel point cette petite gymnastique musculaire me soulageait. Insatiable je voulus alors atteindre le pic orgasmique que ma chatte me réclamait. J’empoignais ma précieuse boule anale et commença alors à intensifier les va-et-vient jusqu’à atteindre un rythme frénétique. C’était la première fois que j’avais l’impression concrète de me donner autant de plaisir en assumant ce que j’étais devenu, la femelle soumise de Milady.

C’est Milady d’ailleurs qui me ramena brutalement à mon statut en déboulant dans ma chambre, visiblement alertée par les gémissements que je n’avais pu contenir durant mon exercice solitaire. Elle était furieuse et me réprima d’un ton sec. ‘’Qu’est-ce que tu fabriques, me lança-t-elle. Je me masturbe, répondis-je honteusement. Qui t’a donné l’autorisation, gronda t’elle en soulevant le drap qui me recouvrait, comme si elle voulait me prendre en défaut de me branler la nouille. Lorsqu’elle réalisa que je me masturbais comme une femelle, elle me mit en demeure de stopper immédiatement et de dormir, mais je crus discerner à un imperceptible radoucissement du ton de sa voix comme si ce flagrant délit d’onanisme était finalement une nouvelle étape qui scellait davantage encore l’avancée et l’irréversibilité de ma soumission et de ma féminisation.

Il était près de 3 heures du matin. Dans ma tête, l’excitation avait laissé la place à un tumulte enfin apaisé. Je n’avais encore jamais ressenti avec autant d’acuité combien Milady avait réussi à me conduire méthodiquement à la lisière de cet univers qui m’aspire chaque jour davantage. C’est sur ces pensées totalement subversives que je parvenais à trouver le sommeil. N’était-il pas temps d’envisager un sevrage plus drastique encore de l’ex–mâle pour tendre vers une véritable castration psychologique. Enchainer les semaines, puis les mois, sans masturbation, sans éjaculation, sans rapport conventionnel, en abandonnant totalement tout repère sexuel masculin… La lope que je suis devenue, dans l’amour de Milady, est infiniment reconnaissante du chemin que sa maitresse lui a permis de parcourir. Résolue aussi à progresser toujours davantage pour voir rayonner chaque jour sur la visage de sa bien-aimée le sourire éclatant d’une femme et d’une Maitresse épanouie.


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