Chasteté h24 et désir de féminisation

ma "prison" dorée

20 cm inside ;-)

La semaine s'écoule comme un très doux supplice encagé... Je voudrais ne plus quitter ma cage de chasteté, tellement je sens qu'elle est un formidable catalyseur sensoriel et un puissant accélérateur de libido.

Lorsque que chaque soir, je revêts ma nuisette, parfois mes bas, je me sens différente, attirée par un incompressible désir de féminité, mais totalement asservie aux désirs de ma maîtresse.

Avant hier, maîtresse m'a laissé seule durant la soirée qu'elle a passé en compagnie d'un homme. Le sentiment de jalousie au départ insoutenable s'est progressivement transformé en une acceptation résignée et fataliste devant l'évidente vérité... 

1ère fois...

Alors que j'étais en train de faire du repassage telle une véritable soubrette en devenir, il m'est alors apparu comme une évidence que mon statut de m'autorisait pas la complainte et que je devais au contraire me réjouir et assumer mon état de petite pute soumise.

hum...

Cette semaine sous chasteté jour/nuit, durant laquelle ma maîtresse a délibérément réduit les jeux sexuels, a fortement contribué à augmenter mon désir et l'état de manque. De la frustration est ainsi né un bonheur paradoxal, qui me rendait encore plus chienne à l'intérieur.

Chaque soir avant de dormir, chaque matin au réveil, j'avais envie de sentir ma chatte lubrifiée et humide ; envie de me sentir femelle, chaude et salope, prête à être prise et remplie par tous les orifices...

Sur la page Facebook de ma maîtresse, le sondage est en cours pour la durée de ma mise sous chasteté... Maîtresse a posté le 24 décembre... 2014! J'avoue être sous le charme de son audace. Car je l'en sais capable... Elle sait désormais quelle petite chienne je suis en train de devenir, prête à refouler mes mâles pulsions,  et assumer de ne plus être utilisée (et humiliée) qu'en soumise féminisée ou plus trash, en pute trav...

Je m'égare tellement le simple fait de penser à maîtresse me brûle le bas-ventre en gonflant mon sexe inutilisé dans sa cage... 

encore...

... et encore...

Je suis en manque je crois... Envie de sentir (et voir) mes fesses martyrisées, fouettées, cravachées... Envie de sentir son poing me fister profondément, et jouir de ses va-et-vient brûlant, préparant ma chatte à de futurs outrages toujours plus impudiques.